Le poète a toujours raison, qui voit plus haut que l’horizon. Ferrat et Aragon se retrouvent toujours chez Claude Diringer, enfant de Westhalten dans la vallée noble, aujourd’hui retraité installé à Dessenheim, après avoir travaillé pendant 36 ans comme infirmier de secteur psychiatrique au centre hospitalier de Rouffach où il était aussi délégué syndical CGT.

https://www.alterpresse68.info/2015/04/12/lalsace-et-sa-culture-vue-par-claude-diringer/

https://www.radiofrance.fr/francebleu/podcasts/pres-de-chez-vous-avec-france-bleu-elsass/le-sentier-des-poetes-de-soultzmatt-7796559